Le son de la cithare évoque un courant d’eau fraîche, Ou le souffle tranquille du vent dans une forêt de pins. J’aime écouter jusqu’à l’extase ces chants anciens, Que beaucoup ne jouent plus aujourd’hui.
D’un temple perdu dans une forêt de verdoyants bambous, Parvient le son grave de la cloche du soir. Le soleil mourant s’accroche au chapeau du pèlerin, Qui du mont Qing s’en retourne vers le lointain.